Introduction

 

 

Le Pen et les attentats

 

Jamais leader politique en France n’avait jamais été autant la cible d’attaques terroristes et d’agressions sur sa personne pour ses convictions politiques.

 

Alors qu’une simple phrase de George Freche à l’endroit de Laurent Fabius déclenche une tempête médiatique ou que la « croisade » de Gueant déchaine un déluge de critique, jamais la classe politique française n’a fait preuve de compassion envers JMLP y compris quand ses propres enfants faisaient partie des victimes.

 

Novembre 1976 : une charge de dynamite industrielle est déposée au
domicile de JMLP rue Poirier à Paris. Ebranlé sur 5 étages, l'immeuble
devra être abattu. L'attentat à fait 6 blessés. L'enquête n'aboutira
jamais.


 Mars 1986. Toulouse. Des manifestants d'extrême gauche lancent des cocktails Molotov et des billes d'acier en direction de J.M. Le Pen.


Octobre 1987. Chambéry. Lors d'une cérémonie au monument aux morts, un commando d'immigrés agresse les élus FN dont Jean-Marie Le Pen.


Mars 1988. Paris. A la tête d'une ban­de d'opposants, Michel Charzat, député PS, agresse à la bombe lacrymogène le candidat Jean-Marie Le Pen.


Ces quelques exemples sont extraits d’une liste de plus de 350 attaques répertoriées contre la personne de JMLP et de son entourage.

 

Pourtant, les agresseurs, issus souvent des milieux anarchistes, du PCF et du PS, ne seront jamais inquiétés par la justice.

 

Or, il est étonnant que dans une démocratie où les hommes sont libres de penser et de s'exprimer librement, des gens  soient en permanence inquiété pour leurs opinions.

 

La violence de gauche est très largement passée sous silence alors que le moindre fait-divers impliquant un ou des membres du FN provoquent indignations et condamnations nationales.

 

Le traitement inéquitable des faits explique en très grande partie l’hostilité de JMLP et de ses troupes envers l’establishment et la presse.

 

La violence politique est en très grande partie du fait de groupuscules gauchistes qui refusent de reconnaitre à tous le droit démocratique de penser différemment et de défendre des idées non-similaires.

 

Le Pen, première victime de cette violence politique, a été floué du statut de victime pour endosser le classique habit de « bourreaux » ou « tortionnaire » alors que les faits sont clairement établis.

 

De ce refus de reconnaitre ses souffrances, le système a engendré une situation conflictuelle entre tous les français et provoqué l’effritement de la cohésion nationale.



29/08/2011
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